On ne compte plus. Dur de partir des Perhentian.

Perhentian, île de Baesar

_MG_7939Le temps ici s’est arreté et on ne veut plus partir de Baesar. la magie des Penhentian a opéré sur nous. La quiétude de cet endroit, de notre plage, suspend le temps. Plus de souci, tout ici est simple et agréable. Même la petite tempête du soir rassemble les quelques touristes et Malais pour admirer le spectacle depuis un hamac devant la mer. Le matin, le chemin vers le petit déjeuner réserve des surprises : des singes, des écureuils volants. Tout est spectacle mais sans fioritures. Simple et généreux.
En face de notre île se trouve Kecil, île un peu plus fétarde à 15 minutes de bateau. On n’y est pas allé.

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Ce soir, moment d’émotion avec Irène, une malaise adorable et pleine d’humour qui sert au restaurant Watercolour.
Elle resplendit de gentillesse et a des mots agréables pour tous. Elle adore Mael et Yannis qu’elle appelle les ‘handsome boys’. They are so handsome !
Ce soir en lui disant adieu, on a discuté avec elle. Lui demandant si elle connaissait l’île de Tioman où nous irons samedi, elle nous avoue en souriant qu’elle ne quitte jamais l’île et n’ai même jamais allée ‘en face’, à 15 minutes de bateau. Silence. On regrette de partir demain. On aurait aimé l’emmener en face.
Et Yannis a fait une jolie rencontre aujourd’hui. Dur de partir.
Merci Irène pour cette jolie rencontre et ces beaux moments ici. Ce soir, je me sens déjà nostalgique de cet endroit. Mais ce sera bon de se souvenir que ce n’était pas un rêve.

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